Prises dans le Rhône, le 12.05.2017 à 17H01 et 17H47
La prairie pentue sous la maison des petites-filles n'est toujours pas un jardin. Depuis qu'il n'y a plus de chèvres (
ICI et
LÀ vues d'ensemble avec la cabane) c'est heureusement le cantonnier du village qui débroussaille la bande de terrain qui leur était dévolue en même temps que le lopin qui la jouxte plus bas et qui appartient à la commune... Cela ne résout pas le problème, au niveau de la maison, des graminées, boutons d'or, et autres plantes pourvues d'akènes à aigrettes comme les pissenlits que nulle dent gourmande ne menace ; ce qui n'est guère gênant en soi si ce n'est dans le petit coin à fraisiers (qui sont des vivaces) et à tomates ou courgettes (des annuelles). Alors la grand'mère des petites-filles a désherbé pendant qu'elles étaient à l'école et le grand-père a aidé Mlle A à planter (Mlle A est plus motivée par la culture que la Petite P).
Le magnolia végétait en pot depuis au moins trois ans sur la terrasse à Cergy. Il a été adopté par la petite famille du Rhône...
... à 17H48
Pour le moment, la petite-fille est plus grande que l'arbuste...
Lorsque la
Princesse Sturdza a commencé son vaste et merveilleux
jardin Le Vasterival en Normandie, elle a tout d'abord planté les arbres dans les taillis là où elle avait prévu qu'ils soient. Elle les a laissé se débrouiller, forcir jusqu'à ce que le parc les gagne les uns après les autres. (Elle nous l'a raconté lorsqu'elle nous a servi de guide : le jardin est trop fragile pour se visiter librement)