Cours en der
Der des ders
T’es le dernier
Porte fermée
Rien à voir, circulez
Cirque envolé...
...
Et si nous vivions
Juste pour être ce que nous sommes
Des toi et moi
Toujours premiers
imparfait présent
This poem and the photo were published almost at the same time on both blogs.
The poem was written by a friend blogger, imparfait present. Impossible to translate.
It’s playing around words, how they’re sounding and have different senses.
The picture is mine.
mardi 10 octobre 2006
Libellés : collaboration, Imparfait Présent, poème, portail
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Très beau texte: quel plaisir de le relire chez toi encore une fois.
RépondreSupprimerLa photo qui l'accompagne est très symbolique.
IP a l'art de nous laisser sans voix devant ces textes: un univers plein d'émotions, des vérités qui nous font réfléchir....Tes textes qui riment et surtout la présence chaque fois d'un rythme..."au bonheur des mots"...
Oups...Des textes qui riment..
RépondreSupprimerBeautiful!
RépondreSupprimerCiao!
RépondreSupprimerFirst visit in your blog...
Very good!
Poetry and photos.. woundeful!
I return to visit you!
Ciao!
la porte qui soutiens les fleurs, les fleurs qui embellissent la porte....
RépondreSupprimerhermosa composición. magica, de sentimintos tenues e invaluable belleza
RépondreSupprimersaludos
beautiful!
I need to revisit the French language. :) Gorgeous photo!
RépondreSupprimerOn adorerait savoir ce qui se passe...derrière. Cela fait si longtemps qu'elle n'a pas du être ouverte.
RépondreSupprimerQui est ce qui me fait la courte échelle?
RépondreSupprimerMoi qui ai pourtant toujours le sécateur à la main j'aime tant l'exubérance des plantes grimpantes,que je n'oserais me frayer qu'un tout petit trou de chat (pas de rat chez moi...enfin presque!!!) pour aller réveiller les égoïstes qui ferment leur porte à double tour et laisser les courants d'air envahir le jardin des merveilles ;)
RépondreSupprimerEt si nous vivions
RépondreSupprimerJuste pour être ce que nous sommes...
Ça sonne comme une proposition intéressante!!!
Vertige
xx
lovely!
RépondreSupprimerMerci pour tout
RépondreSupprimerL'image et le texte s'accordent parfaitement, quelle harmonie!
RépondreSupprimerCher Cergie,
RépondreSupprimerI must comment on ALL your photos, but not now. Please forgive! Family matters are first I am afraid. I love the colour in this photo though...
just a question...the photo has something to do with the poem? will be nice if u could give a summary of it..:(
RépondreSupprimersi je sonne à la porte, qui va ouvrir? le poète? la fée photographe? je me demande...c'est la magie de Cergie.
RépondreSupprimerbisous
Mousie
lynn et lynn, amie de l’un puis de l’autre, merci de ton affection et de ton enthousiasme.
RépondreSupprimerash, thanks
daniele, happy to have this first visit. Be welcome, I hope to meet you often now. Here or there on your blog.
Thank you for enjoying the association poetry / picture.
fabrizio, on aimerait ouvrir ce portail et le franchir tous les jours.
mlle p, l’un rend plus beau l’autre.
L’un sans l’autre n’est rien.
J.Brantes, so you’re back.
It was such a long time.
I’m happy you noticed them both.
stephen, thanks for the photo and for the words.
maxime, chaton, tu vas pas me dire qu’un portail fermé t’arrête !
chateimamy, même réponse qu’à maxime, chatoune, je suis allée derrière, dans le jardin, derrière le jardin, derrière le portail scellé. C’est un jardin extraordinaire aussi, et la maison d’à coté ! La maison croule sous les magnifiques hempelopsis.
vertige, j’aime beaucoup, entre autre, aussi cette phrase, elle parle de compréhension, de tolérance. De différence. De liberté. Vivre juste chacun comme nous sommes.
Merci d’être repassée. Et particulièrement sur ce message.
wingnut, gently said!
imparfait présent, de rien, rien du tout.
Merci à toi d’avoir investi cette photo, de l’avoir fait tienne.
Merci pour la belle histoire mélancolique racontée à ces vantaux hermétiques.
Tu y dis premier et dernier, j’entends SEUL.
Ce seul m’attriste.
Peux tu STP voir ma réponse à black feline, et corriger un éventuel contre sens.
reflex, colibri au sonar de chauve souris, tu as raison.
La photo ne vit que par le texte.
Le texte a pris vie pour la photo.
san nakji, please, s’il te plait, I’m fine, don’t comment on all my photos. Even you’ll do it, I’ll not answer! Just catch a glimpse on my previous posts.
Enjoy your family first. I was so happy to see your smiling face just here, and hear of you.
It's enough and much for me yet.
Read you later when it will be possible, cher ami.
On the post of that future happy day.
black feline, oh! The poem was written for the photo. The picture came before, the poem after. Such as a gift.
Difficult to translate exactly, but this poem has a drama mood and is speaking about a kid who is the youngest of his (her) family and is ever alone inside behind closed doors.
And there is endly a message of hope, which tells whatever you are the first born or the last one, you may manage to accept whom you are and consider you’re the best. Purpose valuable for each of us.
At least, that’s what I understood.
If I’m doing an error, imparfait present will maybe explain the author’s point of view.
mousie, bisou!
Maintenant, ce message peut vivre seul, il n’a plus besoin de quiconque pour le soutenir. Alors derrière cette porte, tu trouveras ce que tu y auras imaginé.
Cergie,
RépondreSupprimerThis is your own view and way to read it.
Writting it, I had something else in mind than what you say. But it doesn't matter. What you read in it is also a possibility.
Everybody can see what he wants.
The general idea is that there is too much competition in that life. Everywhere. And we are closing too fast some doors to some people just because they are not the "first" one.