Le 23.08.09 à 12H35
Découvrir autrui et voir son propre visage
La photo, les mots sont alors la partie émergée de l’iceberg
A la dérive sur l'océan d'une vie
To discover others and to find oneself’s face
So the photograph and the words are the tip of the iceberg
Drifting across the ocean of a life
La photo, les mots sont alors la partie émergée de l’iceberg
A la dérive sur l'océan d'une vie
To discover others and to find oneself’s face
So the photograph and the words are the tip of the iceberg
Drifting across the ocean of a life
Traces profondes ! Emouvant tbleau !
RépondreSupprimer"L'océan d'une vie" pourrait être son titre.
Te souhaite une belle journée, Cergie !
émouvant tableau, bien sûr :-)
RépondreSupprimerJe m'"instructionne" aujourd'hui Victor Jacquemont avec Peter
RépondreSupprimer, "gouges" avec toi...
Gouge: ciseau en forme de gouttière... utilisé par les artisans... travaillant le bois... pour tailler... les contours des pièces à façonner...
Complexité de l'être humain. Oh merveille!
Notre Cergie en pleine philosophie !!!
RépondreSupprimerTrès jolie la sculpture même si elle ne fait partie que de la partie émergée..
Bisou Bonne journée A +
Pour te voir en photo, on a du mal. Heureusement que pour les mots c’est un peu plus facile. Les icebergs se fondent peut-être un petit peu ?
RépondreSupprimerMuchu est sans doute plus heureux que le tigre, moins dangereux aussi! lol.
RépondreSupprimerMerci de ton passage, j'en ai marre !! tu découvre tous les secrets de l'agent Hugo !!! Toi ris si tu veux...la la la
A + ;-))
Etrange tableau...a priori touchant, mais finalement plutôt avec une touche d'humeur.
RépondreSupprimerJ'ai connu un jeune homme, nul en orthographe, nul à l'école en général aussi, jusque le jour où il s'est mis à travailler avec des gougères. Il est ainsi rentré au lycée du bois.
RépondreSupprimergouges -- j'ai faim!
RépondreSupprimerDes mains sculptant des mains qui écrivent. Il serait beau que ces mains sculptées écrivent celles qui les ont sculptées, comme un jeu de miroirs infinis...
RépondreSupprimerTa photo en lumière latérale donne à ce travail tout son relief, au sens propre. J'aime beaucoup la présentation sur l'établi dans l'atelier, qui parle effectivement du travail des gouges placées à gauche.
RépondreSupprimerAvec une gouge, on prend son temps pour écrire les mots, peut-être on dit moins de bêtise...:)
RépondreSupprimerMagnifique photo et belle allégorie !
Frederique
Pas si nul que cela en orthographe, d'après cet échantillon sculpté ...
RépondreSupprimerLes gouges -de plus petites dimensions -servent aussi en linogravure.
Le relief de la sculpture est vraiment valorisé par l'éclairage.
Oui, il y a différentes formes d'autobiographie...
Ce pourrait être aussi une belle illustration de la journée du patrimoine.
Bonjour, Cergie.
RépondreSupprimerDürer n'est pas loin, avec ses mains en travail qui donnent de la lumière à ce qui est enseveli.
Merci beaucoup et pour tout.
Je t'embrasse.
Il faut que je t'envoie, ainsi qu'à Thérèse, deux photos, prises hier à la journée du patrimoine ...
RépondreSupprimerJe crois plutôt que c'est de Maupassant ,fais-tu allusion à la nouvelle cruelle intitulée Pierrot ?
RépondreSupprimerHeureux de te lire encore.
RépondreSupprimerUne pensée qui va très loin avec une oeuvre très très belle et si bien mise en scène par toi.
RépondreSupprimerQuand on écrit pas, qu'on ne peint pas et qu'on ne sculpte pas, il faut essayer de laisser des traces dans le coeur et la mémoire des autres.
RépondreSupprimerje vois tres bien qui tu vises avec la phrase gravée "nul en orthographe"....merci, je vais aller bouder dans un autre blog ;)
RépondreSupprimerTres beau texte, qui est en harmonie ta photo.
Comme je suis megalo, tu te doutes que le post sur la journée du patrimoine a Evry est fait sur mon expo ;o))
Je ne sais pas si le sulpteur qui travaillait (encore un peu sur demande, quand cela se pr(ésentea) était nul en ortographe, mais lui qui a de l'or dans les mains, n'a plus de travail. Les meubles sculptés ne sont plus à la mode en ce moment. Ses gouges sont rangées dans un tiroir de son atelier, en attendant...
RépondreSupprimerUn pensée poétique et un texte beau et profond comme une mer idéale mais difficile à naviguer. L'image est pure poésie
RépondreSupprimer"j'écris mes mémoires". voilà ce qu'a commencé à faire mon grand-papa journaliste vers la fin de sa vie, il s'est mis à l'ordinateur, et il a commencé. Je n'ai encore pas lu une ligne, ma mère n'as pas encore tout trié et je sais qu'elle voudra lire avant toute autre personne de la famille, tranquillement. Pour se rendre compte de la partie immergée de son père. Je lirai certainement plus tard, quand le temps me sera donnée. Je te trouve très poétique sur ce texte ma belle et ta photo est une merveille.
RépondreSupprimerJ'aime regarder les mains des gens, te souviens-tu d'un des textes que j'avais écrit sur un petit pépé dans mon coeur? je parlais de ses mains qui avaient travaillé la terre.
Je te laisse ma petite cergie. J'ai des larmes de fatigue à essuyer. Ce n'est pas une grande journée.
It must be wonderful to be able to make something out of wood ...
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