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mercredi 6 février 2008

Düsseldorf (Allemagne) : les immeubles Frank Gehry

Le 03.09.06 entre 10H40 et 11H00 Canon PowerShot S3IS
Lorsque nous sommes en Allemagne, nous aimons "bruncher" le dimanche midi. Ce jour là, nous avons repéré un bel endroit (signalé par le néon bleu) qui s'est avéré être un bon plan.


Notre fille Anna et son compagnon Anton ont habité Düsseldorf pendant 2 ans. A chacune de mes visites chez eux, je suis allée voir ces immeubles de FRANK GEHRY dans le quartier du port sur le Rhin.
Sous un ciel "troué" et une pluie diluvienne, nous voulions aller au marché au poisson, qui ne s'est pas tenu ce dimanche.
Les quais sont un agréable but de promenade lorsque le temps s'y prête. Les anciens docks, désaffectés depuis que les marchandises voyagent en containers, ont été réhabilités en logements ou bureaux. Bâtiments modernes et anciens cohabitent.

Les oeuvres de Gehry parlent à l’imagination. Je surnomme celles de Düsseldorf "les immeubles sardines".
RICHARD les nomme SHINY BUILDINGS
DOROTHEE de Boston, a parlé du MIROIR AUX ALOUETTES
LYLIANE a photographié à Prague LA MAISON QUI DANSE
ET MARIE-NOYALE, le TILTED BUILDING de Chelsea...




My daughter and her boyfriend lived during two years in Düsseldorf (Germany). Each time I went and visited them, I also visited the Gehry’s buildings on the Rhine quayside. FRANK GEHRY built everywhere in the world.
They are weird, then it is not astonishing that those of Düsseldorf are on Cergipontin today. I like to call them "sardine buildings".
Richard names the same ones SHINY BUILDINGS.
Lyliane shown Prague's DANCING BUILDING,
Dorothée, who lives in Boston, the LARK MIROIR,
and MARIE-NOYALE the Chelsea's TILTED BUILDING

dimanche 21 janvier 2007

Düsseldorf, 17/12/2006 à 9 h33 depuis la fenêtre de la cuisine d'Anna et Anton donnant sur l’arrière et les jardins.
View from the kitchen window of my daughter and her boyfriend, in Düsseldorf.


Lorsqu’on marche dans la rue on est loin, au vu des façades sagement alignées, d’imaginer ce qui est derrière. Des escaliers, des appartements, des familles, des vies. Mais derrière encore ? Derrière il y a des jardins, d’autres façades, pas toujours très bien alignées. Un imbroglio de volumes, de matériaux disparates et vernaculaires. Et des vies. Des vies en vue en vis-à-vis. On les devine, on les voit s'éveiller, petit déjeuner, travailler, nettoyer les vitres, montrer l’horizon aux bébés. On les croise rarement : elles sortent sur une autre rue.
We can imagine when watching at these dark façades the living behind them. We can even see them having their breakfast, working, showing through the window the horizon, the gardens or simply a bird to a baby in their arms. Actually, we can see them and nevertheless never meet them. They ever get out in another street than ours.

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