Le 20.10.08 à 11H30
Elle a poussé sur les terres agricoles du village de Cergy (3000 habitants dans les années 60) ; elle reste en contact avec Mère Nature, ses joies et ses contraintes, la ville nouvelle...
It has grown on the farming lands of Cergy village (3000 inhabitants in the Sixties) ; it stays in touch with Mother Nature, her joys and her constraints, the new town...
vendredi 28 novembre 2008
Cergy-Saint-Christophe : la recolte *** harvest
Libellés : arbre, cergy, Cergy st Christophe, urbain, urbanisme
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Cette œuvre est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons Licence 3.0 France - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les mêmes Conditions.
ils ramassent les feuilles mortes pour pouvoir les remettre l'année prochaine ;o)) il y en a des feuilles d'automne c'est assez impressionnant, allez a+
RépondreSupprimerQu'elle est belle cette route.
RépondreSupprimerQu'elle corvéée ces feuilles, je ne suis pas équipée comme à Cergy, c'est à la brouette que je les amméne dans le champ vide d'à côté bonne fin de semaine.
C'est bien la le drames toutes ces villes nouvelles de la région parisienne, qui ont poussé sur les meilleurs terres agricoles de France, alors que la culture vivrière de part le monde est déficitaire...
RépondreSupprimerBisous bonne journée. ;-))
Les feuilles mortes ne se ramassent plus à la pelle.
RépondreSupprimerOlivier, c'est le moment que je préfère, lorsque les feuilles volent...
RépondreSupprimerLyliane, il te faudrait un coin pour les composter, tu en as la place : quel dommage de les perdre pour ton jardin !
Daniel, le drame est que toute la France vit à Paris !
Hpy, lu ce matin au fronton de la bibli municipale de Vauréal cette citation de JP Sartre :
"Un livre n’est rien qu’un petit tas de feuilles sèches, ou alors une grande forme en mouvement : la lecture"
Moissonner l'automne...
RépondreSupprimerIls ramassent les feuilles mortes pour les reverser sur les bords de la route. Et ils font pareil avec la neige? :-))
RépondreSupprimerAh les feuilles mortes de l'automne, si belles et pourtant parfois si dangereuses pour les automobilistes. Il faut donc les ramasser. Je me rappelle de ma maman qui ramassait les feuilles des marronniers et qui les brûlait ensuite. Maintenant les particuliers n'ont plus le droit de faire des feux de feuilles mortes sur leur propriété, cela fait trop de fumée.
Bises
Alline, ce véhicule ressemble à un tracteur avec remorque...
RépondreSupprimerDelphinium, ta maman a raison : les feuilles de marronnier ne se décomposent pas bien, il faut éviter de les mettre au "pourrissoir".
Je dirais que les hommes pour la récolte des feuilles ont devant une longue période de travail!
RépondreSupprimerLes feuilles mortes ne se ramassent plus à la pelle, mais avec des souffleurs et aspirateurs bruyants (et polluants). Ton engin, avec ses tuyau, me fait penser à "Brazil", peut-être "Tuttle" est-il au volant ?
RépondreSupprimer"Ah les feuilles mortes de l'automne, si belles et pourtant parfois si dangereuses pour les automobilistes" elles sont aussi très dangereuses pour les piétons,, car on ne sait pas ce qu'il se cache en dessous ;o)) (et dans le cas ou.....je tuerais bien tous les propriétaires de chien)
RépondreSupprimerComme métier, balayeur de feuilles mortes c'est plutot sympa. Au boulot en automne et et regarder pousser les feuilles le reste de l'année ;)
RépondreSupprimerTu as ton appareil dans la poche tout le temps, Cergie ? :-)
RépondreSupprimerC'est la bonne solution pour ne pas avoir de regrets quand une opportunité comme celle-ci se présente avec l'omniprésence des feuilles à gauche, à droite, au centre, sur les arbres proches, au loin et puis ce camion-aspirateur, drôle avec ses noeuds de tuyaux !
J'aime tes rues, Cergie !
Et j'aime la citation de Sartre "un livre n'est qu'un petit tas de feuilles sèches, ou alors une grande forme en mouvement: la lecture"...la lecture de toutes les têtes penchées à travers le temps et l'espace sur tous "les petits tas de feuilles sèches"
:-)
tu as dit "le drame est que toute la france vit à Paris"...là je crois que c'est carrément vu de paris on "vit" aussi ailleurs.
RépondreSupprimerc'est sûr qu'l vaut mieux enlever les feuilles mortes des voies de passage . Malgré tout ce qui en est dit ta photo a des couleurs toujours aussi réussies.
Nazzareno, je suis passée dans cette rue hier soir : il reste des feuilles sur les petites haies du coté. Pour terminer le travail, il faudrait le faire à la main.
RépondreSupprimerAlain, j'avais un voisin (heureusement il a déménagé) qui avait un souffleur bruyant. Il soufflait les feuilles ailleurs chez ses autres voisins sans les ramasser. C'est un procédé comme un autre
Olivier, as tu vu la Place de la Carrière à Nancy à la fonte des neiges ? Il y a de drôle de petites statues figées par le gel
Lasiate, oui c'est comme ça sur ma planète, qui est la planète du ramasseur de feuilles
Fifi, je ne l'ai pas en poche, mais dans mon énorme sac à main. Il vaut mieux pour moi : je prends des photos au petit bonheur la chance lorsque je sors.
Marguerite Marie, toute la France ne souhaite pas vivre à Paris ; en réalité on n'y vit pas, on y survit plutôt. La centralisation et le parisianisme ne sont pas ce que la France a de mieux. Ceci dit, à Cergy demeurent encore énormément de tenues maraîchères et les champs ne sont pas loin.
Lu une citation sur les feuilles mortes, sur le thème des "nuages",ou du "vent"...A rechercher car elle s'est envolée de ma mémoire!
RépondreSupprimerC'est une bien pauvre récolte, même s'il faudra encore bien des voyages pour en engranger la totalité.
RépondreSupprimerLes platanes ont leur noblesse, mais je rêve d'une large allée urbaine bordée d'une alternance de châtaigniers et de noyers, où, comme au pays de cocagne, chaque passant pourrait à la saison profiter de fruits à grignoter tout en marchant... (oui, je grignote des châtaignes crues !)
Ce serait une bonne idée de convertir les pipelines de pétrole en pipelines de feuilles mortes nous qui en avons si peu... mais seulement les colorées hein pas les autres on en a assez.
RépondreSupprimerIl doit être vite rempli le petit camion, les feuilles cela prend de la place.
Miss, tu en as trop dit ; j'espère que tu vas chercher et que tu trouveras
RépondreSupprimerMaxime, miam ! Du chaton roti fourré aux marrons pour Noël !
Thérèse, les choses sont mal faites : trop de ci et pas assez de ça. Heureusement au fond qu'on n'a pas son mot à dire, ce serait une sacrée cacaphonie (il y a un tome des Sctroumpfs qui met en scène une machine à faire la pluie et le beau temps > zizanie la plus compléte et catastrophes)
Les feuilles mortes se ramassent à la benne...
RépondreSupprimerDommage que d'aussi belles couleurs disparaissent ainsi.
RépondreSupprimerLes feuilles mortes sur le sol des villes c'est une nuisance qu'il faut supporter pour garder nos arbres le long des rues. Trop tristes les rues sans eux
we have a similar truck to snuffle up the leaves here!
RépondreSupprimerthey get turned into compost.
your photo makes it look romantic.
RépondreSupprimerBonsoir Lucie! J’espère que tu as survécu les nouvelles affreuses dans les media cette semaine…
RépondreSupprimer«Les feuilles mortes» de HPY me rappellent que Juliette Greco est venue chanter à Lisbonne; c'était le 16 octobre et j'ai raté... :(
Belle photo!
Entretemps Blogtrotter Continue en Tunisie, cette fois au village de Sidi Bou Said! Amuse-toi! Bonne semaine!
Gregory, :)
RépondreSupprimerPas la benne à or dur...
Kirnette, les couleurs de l'automne disparaissent et puis ce sera le printemps et les verts tendres. De nouvelles variétés d'arbre apparaissent en avenue et remplacent marronniers et platanes : liquidambar ou Ginkgo biloba, ou les pistachiers que j'ai montrés plus bas. C'est la mondialisation en marche, à moins que ce soient les joies de la reproduction in vitro ?
Squirrel, we use to say in French : "rien ne se perd, tout se récupère"
Nothing get lost, everything is saved
My new town knows how to be romantic
Gil, des nouvelles pareilles c'est sûr.... Un grand voyageur comme toi en est d'autant plus affecté.
Lu ta citation-
RépondreSupprimerEn revanche, je m'aperçois que je n'ai pas cherché celle dont je te parlais...
Quelle épaisse couche de feuilles !
Je repasserai plus tard , demain sans doute
(mi-graine)
www.dicocitations.com/citation_auteur_ajout/11922.php
RépondreSupprimerEtait-ce celle-ci ? je ne crois pas...Un peu triste, mais en attendant ....
code:undedis