... et le moulin d'Aubais (moulin de Carrière), sur et au bord du Vidourle (fleuve côtier), le 07.10.2016 à 10H20, Aubais/Villetelle (Gard)
On pourrait jouer au jeu des différences entre ces deux photos, sans toutefois tenir compte du cadrage (horizontal pour l'une et vertical pour l'autre). Sous le pont le fleuve, sur le pont un cycliste. Il y avait aussi un héron sur le barrage de retenue du moulin et un colvert mâle qui s'ébrouait en se lissant les plumes dans les eaux du Vidourle en aval du pont. Ces deux volatiles n'apparaissent ni sur l'une ni sur l'autre photo. On ne peut tout avoir...
Le cadre est paisible et pourtant il arrive que le Vidourle enfle et déborde. Pour aller prendre le train à Lunel lorsqu'on habite à Aubais et travaille à Montpellier, il s'agit alors de prendre un autre itinéraire... La semaine (les 13 et 14 octobre) qui a suivi notre passage, il a été question aux actualités d'un épisode méditerranéen...
mercredi 16 novembre 2016
Le Pont submersible - the Low-water Crossing
Libellés : Aubais, fleuve, Gard, Le Vidourle, moulin, pont, vélo, Villetelle
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Cette œuvre est mise à disposition selon les termes de la Creative Commons Licence 3.0 France - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les mêmes Conditions.
Coucou Lucie.
RépondreSupprimer"Vidourle" un nom qui somme bien le parlé du midi, il y a "Banturle", "ligourau" que j'aime bien aussi...
Passe une bonne journée.
Bisous, A + ☼
Tout d'abord sur les photos, il y a toujours le grand débat qui oppose ceux qui préfèrent photographier les paysage en mode paysage et les autres. Quant à moi, je préfère la première photo qui donne à voir plus de chose et introduit un élément humain qui donne une juste proportion aux choses.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup cette petite maison et son moulin, élément bucolique dans le paysage.
Par contre, comment cela se fait-il, si tu as pris lês photos le même jour et à la même heure, qu'une fois il y avait de l'eau et l'autre fois pas? Il y a un élément qui m'échappe.
Bon mercredi après-midi ma chère cergie et à bientôt.
il faut rajouter des "s" où ils manquent. Je suis fatiguée.
RépondreSupprimerbien beau billet bisous
RépondreSupprimerj'y suis passé il y a 2 ans pour il me semble aller voir un beau village Vézenobres
RépondreSupprimerQuel endroit charmant, la nature est si belle ♥
RépondreSupprimerbisous
Manon
Je dirais même plus un "épisode cévenol",,tous aux abris i quand le déluge survient !
RépondreSupprimerBelle lumière chaude.
RépondreSupprimerLe pont a un aspect "brut"(de décoffrage) qui contraste avec les pierres du moulins. Le cycliste semble peiner, bien qu'il roule sur du plat!
Les deux cadrages se complètent et ont leur intérêt.
Je vois bien une nappe d'eau sur les deux photos...
Comme la nature agrémentée ici d'un pont est belle! Monsieur le cycliste a t'il levé la tête?
RépondreSupprimerTa deuxième image donne l'effet de deux photos posées l'une au dessus ou au dessous de l'autre.
Pour choisir il faut toujours renoncer à quelque chose y compris dans le cadrage d'une photo. Et tant mieux, à vouloir y mettre tout, cela fait "cacophonie" et l'image n'est plus très lisible. Mais peut être tu as tiré le portrait au héron et au colvert à un autre moment ? :-)
RépondreSupprimerAvant d'analyser les qualités respectives de tes deux cadrages, ma curiosité m'a incitée à aller vérifier mes connaissances au sujet du Vidourle. Si je savais cette rivière (pardon ! ce fleuve) aussi susceptible que le Gardon (et même davantage) je viens d'apprendre qu'une petite partie de son cours est souterraine. Merci pour la découverte, tu sais combien les sources vauclusiennes me passionnent ;-)
RépondreSupprimerDe tes deux cadrages, c'est celui au format paysage que je préfère vu qu'il montre davantage le pont submersible. Ce genre de pont au ras de l'eau me fascine, car il revient assez souvent dans mes rêves.
Le bas du moulin aussi doit avoir sa part de submersion quand le cours d'eau entre dans une de ses fameuses vidourlades.
À propos du moulin, avez-vous vu une des expos affichées à la fenêtre ?...
Et oui, moi qui suis Gardois de naissance j'en sais quelque chose...quand il pleut au printemps ou en automne, "ça tombe comme à Gravelotte", je me souviens des inondations à Nîmes, il y a encore, pas si longtemps...
RépondreSupprimerSuperbe ce vieux pont très adapté à ce genre de situation.
LUCIE BONJOUR je repasse après la tempête car rien ne marche en ce moment bisous
RépondreSupprimerCOUCOU LUCIE c'est un bel endroit et tu es une superbe photographe si si*
RépondreSupprimerJ'y vais assez souvent quand il fait bon et je marche un moment c'est si sympa cet endroit*
Ce moulin est au repos et quel dommage
gros bisous