Place Fréhel, Paris Belleville (20ème), le 01.06.2017 à 20H11
"Il faut se méfier des mots"
Avec les "solstices et les équinoxes", le soleil scande la ronde des saisons. Il nous a fait entrer dans le printemps depuis mardi 20 mars à 17H15 (heure locale à Paris) lorsque les jours sont devenus aussi longs que les nuits. En allant chercher le journal dans la boîte aux lettres samedi dernier, j'ai entendu les oiseaux chanter à l'heure bleue. C'est un signe qui ne trompe pas. De même qu'à l'approche du solstice d'été dernier l'œuvre de Ben, d'ordinaire toujours dans l'ombre (voir "ICI" message précédent sur Cergipontin), était éclairée par le soleil bas du soir...
Paris 19ème, le 05.06.2017 à 16H50 et le 17.01.2018 à 10H37
"Seringat, Seringa, le Jasmin des poètes"
Le seringat a subi une coupe en brosse... Bientôt il refleurira...
Coucou Lucie.
RépondreSupprimerEn un mot tu as tout dit, dit on !
N'avoir qu'un mot à dire, il faut le dire !
Cela dit un mot, heureux de te retrouver tu te fais rare, comme sont les bons mots !
Bises bonne journée, A +
Bonjour Cergie
RépondreSupprimerJ'aime bien ces mots ecrits sur ce tableau noir ....il faut s'en mefier c'est sur , ce qui est dit est dit....
Bonne journée à toi
Bises
Un billet très poétique ! J'aime beaucoup ta mise en images ♥ Je reviendrai plus tard.
RépondreSupprimerCoucou Cergie. "il faut se méfier des mots" me fait penser à ces fake news que l'on nous balance ici ou là. Nous vivons une drôle d'époque et il faut faire attention à ce qu'on nous donne en pâture comme informations à longueur de journée. Je ne sais pas si l'arrivée du printemps est une fake news... car ici, il fait un froid de canard et la neige ne fond pas. Bon, si tu dis que les jours sont aussi longs que les nuits, j'essaie de te croire. ;-) Bises alpines et belle fin de semaine.
RépondreSupprimerIl faut se méfier des mots, c'est vrai, mais il faut aussi les aimer; ils sont précieux.
RépondreSupprimerEt cette photo à côté du seringa ?
Merci pour la réponse dans mon blog ! Bonne journée !
SupprimerRien n'échappe à ta curiosité et ton désir d'en savoir plus.
RépondreSupprimerTu étais là au bon moment, au bon endroit.
Merci pour ce moment poétique qui nous fait réfléchir.
Il faut se méfier des mots-parfois-mais aissi des images, qui peuvent mentir.
RépondreSupprimerTout dépend de qui les emploie et ds quel but!
Il faut aussi aimer les mots, comme le rappelle ClaudiaLucia, ceux des poètes, par exemple.
En tout cas, tes images et des mots sont bien venus.
Bien évidemment qu'il faut se méfier des mots et des images.
RépondreSupprimerEt aussi des maux surtout quand ceux-là sont silencieux.
La Dame aux napperons avait un seringua double dans son jardin ; il était magnifique
et il sentait rudement bon.
Bises
SUPERBE ET BISES
RépondreSupprimerBien employés, les mots rassurent ou non (:-) et lorsqu'ils sont écrits noir sur blanc on peut les méditer et les argumenter plus facilement ce que l'on fait ici. Tes photos dans l'ombre et la lumière renforcent leur signification et nous interrogent.
RépondreSupprimerBelle idée, d'avoir cadré la mise en scène des mots de Ben.
RépondreSupprimerSurprenant tout de même, cet échafaudage volant avec ses deux ouvriers factices en train d'installer le panneaux sur la façade.
Dédé à raison "Nous vivons une drôle d'époque et il faut faire attention à ce qu'on nous donne en pâture", au propre comme au figuré.
Comme le chantait Jacques Brel Faut dire qu'on ne nous apprend pas à se méfier de tout. Or maintenant c'est partout et tout le temps qu'il faut vérifier les ingrédients sur les étiquettes des produits alimentaires, et recouper les informations lues ou entendues ici où là. Plus question de nous faire gober n'importe quoi !
Le seringat va sans doute multiplier ses rameaux et au final il portera peut-être davantage de fleurs...
Quant aux portraits, je balance entre les deux tant ils me plaisent autant l'un que l'autre.