Le 07.08.07 à 18H30 (6.30PM)
Encore des photos et un message (du moins ces deux paragraphes que j’ai placés en dessous de la deuxième photo) que j’avais préparés depuis fort longtemps.
En me levant ce matin, je réfléchissais à la manière de les introduire. Parler des adorables hôtes qui nous ont fait sillonner toute la cote du Morbihan et du sud Finistère ? Des ports, des cités, des crêperies, des sardines au sel cuites entières à la braise ?
Et puis, je suis allée petit-déjeuner. J’ai ouvert "Le Parisien" d’aujourd’hui, mercredi 24 octobre 2007. Nous le recevons par portage. A la page "Vos transports" (Vous savez tous, que nous avons en ce moment en France des mouvements sociaux qui les rendent difficiles), j’ai aimé ce billet. Je me permets donc de le reproduire intégralement, pour le partager avec vous.
"C’est un matin comme tant d’autres. Sauf que l’automne et le froid effectuent ce jour-là leur grand retour dans la capitale. Dans le métro, les voyageurs ont la tête ailleurs. Plongée dans leur lecture, leurs idées noires, leur musique numérique ou autres préoccupations. Personne ne fait attention à l’autre. Ni à son voisin, ni à l’homme qui monte à la station Opéra. En entrant dans cette rame sur la ligne 3, ce quadragénaire sait sa tâche compliquée. Voire impossible. Qu’importe. Une fois les portes refermées, il propose aux voyageurs, pour quelques euros qui lui auraient permis de "manger et se loger", des petits fascicules répertoriant les meilleures adresses gastronomiques de Paris ou racontant l’histoire de la capitale.
Les voyageurs, tellement habitués aux défilés des mendiants dans le métro, ne prêtent aucune attention à lui. Il s’apprête à sortir de la voiture lorsque, à coté de moi, quelqu’un l’arrête. Surpris, le "vendeur" lui demande alors quelle brochure l’intéresse. "Peu importe, répond mon voisin. Donnez moi celle concernant les restaurants".
Il prend la brochure, la range, et sort, après avoir pris soin de déplier sa canne blanche. Ce matin-là, ce n’était peut-être pas lui le plus aveugle".
-Julien Lesage-
Le 07.08.07 à 18H50 (6.50PM)
Il faut TOUJOURS lire le journal du coin. Dans le Finistère (la fin de la terre), c'est "Le Télégramme" (autrefois "Télégramme de Brest").
Dans le n° du mardi 07.08.07 (jour où j'ai pris les photos), on en apprend de belles !
De petites embarcations en plastic sont de plus en plus utilisées comme annexes pour les transferts de la terre au bateau. Légères, souvent surchargées pour limiter les allers-retours, elles sont sujettes au chavirage. Pour peu qu’il n’y ait pas d’échelle de bain à l’arrière ou sur le coté du bateau, c’est la cata. Impossible de monter par ses propres moyens à bord. Quant aux bottes en caoutchouc, elles se remplissent d'eau. Elles sont à proscrire absolument et, parait-il, à réserver au jardin.
Quoique... J’ai un avis différent. Les bottes en caoutchouc devraient être réservées à la pêche à pied, et encore... Au jardin, ce n’est pas top sur le fer à bêche. Mieux vaut de bonnes galoches ou même des sabots de bois.
Puis, nous sommes passés par la Lorraine...
Nous y avons lu "La Liberté de l’Est"...
I'm sorry for my no French speaking visitors, no English translation today.
RépondreSupprimerThis post tells how it is interesting to read the local news-papers and so read life style columns.
The photographs were taken on last summer in Brittany.
Les pierres sur la première photo sont vraiment IMPRESSIONNANTES!!
RépondreSupprimerTu as fais un post également impressionnant ! … et je suis d’accord pour les sabots en bois pour le jardin, c’est vachement pratique ! Des sabots hollandais, suédois… ?
La distribution des journaux à domicile est qq chose qui me manque à Paris. (Possible dans certain coins de la France, mais surement pas partout ; une des raisons de la très modeste consommation des journaux en France. A Paris, on peut recevoir Le Figaro, si on habite les beaux quartiers.)
Bonjour, Peter
RépondreSupprimerTu as bien p'tit déjeuné ? Nous pouvons aussi à Cergy avoir "Libération". Quant aux sabots, sur les marchés il y a encore en Bretagne vente de chaussons en feutre à mettre dans les sabots de bois BRETONS (que l'on trouve également encore sur les marchés à coté des chaussons). Et les sabots de la Lorraine sont fameux (voir la chanson "en passant par la Lorraine avec mes sabots"...)
Puisque le sabot est devenu le sujet du jour, je vais juste dire que je n'ai jamais appris à marcher avec des trucs comme ça. Ca me fait chavirer, comme tes petits bateaux.
RépondreSupprimerTu marchais pieds nus même qd cela gelait à pierre fendre comme Pelle le conquérant ou Franck Mc Court ? C'est curieux. Moi, j'arrive à sauter de rocher en rocher en bord de mer avec des sabots aux pieds. Comme une chèvre...
RépondreSupprimeret bien moi j'ai porté non pas des sabots , mais des "claques", sabots réservés à la "ville", noirs en bois avec le bout rond ne remontant pas comme les gros sabots, avec une lanière épaisse de cuir sur le dessus, dedans on mettait des chaussons en feutre, quand on arrivait à l'école ou à la maison en enlevait les claques.aussi les déplacements étaient-ils silencieux.
RépondreSupprimerkenavo
J'emploie le mètre tous les jours et crois qu'il n'y ait rien
RépondreSupprimersemblable pour de connaître la joie, les drames, l'amour, la
pauvreté les solitudine et de la rage des personnes. Je crois que
même nos politiciens, avocats, notaires etc. devraient employer ce
transport pour savuir vraiment de quoi il est fait l'homme.
Bonjour tout le monde
RépondreSupprimertrès beau post aujourd'hui, j'ai particulièrement aimé la petite histoire du métro, tellement véridique...C'est incroyable comme l'être humain peut se satisfaire de la misère... Je vais arriver avec mes gros sabots mais j'ai regardé l'autre soir une partie de "zone interdite". Je ne suis en général pas très friante de ce genre de reportages un peu à sensation mais ce soir-là, cela portait sur les gens en France qui n'arrivaient que difficilement à joindre les deux bouts en fin de mois. Et cela m'a beaucoup touchée, finalement il y a beaucoup de gens qui rament dans nos pays et on commence à trouver cela normal...
Hier soir, autre son de cloche, la blonde de M6 qui fait la déco dans les maisons, et bien sacrée baraque toute réaménagée avec des chambres pour les gosses dignes de leurs rêves les plus fous... des Français moyens? pfffff, alors quand les Français pas moyens regardent cela, qu'on leur montre des lampes très cons qui coûtent 250 euros et qui sont mises dans la chambre du gosse, moi cela me fait prendre mes sabots à mon cou. Je suis allée me coucher très dubitative.
Pas trop envie de rire aujourd'hui, le froid me tombe sur le moral.
Je vais aller mettre la tête dans un sabot pour voir si dedans le soleil brille.
Un article et des commentaires très pertinents, des photos de Bretagne qui me font craquer, ah que c'est bon de venir ici !
RépondreSupprimerMoi j'ai jamais su marcher avec des sabots, et je ne jardine pas. J'aime les jardin tropicaux où tout pousse tout seul et où ne sait pas ce que c'est que de bêcher... Des sabots, j'en ai eu ado, quand c'était la mode dans les années 70 pour aller avec les jupes en satin fermière, mais ça n'a pas duré longtemps. En revanche les bottes de marin, les bottes Aigles, ça j'en ai porté durant toutes mes années de vacances en Bretagne, en bateau et puis pour marcher sur la plage l'hiver. Pour moi c'est l'accessoire indispensable... vraiment un bon souvenir.
Quant à l'article sur la cécité sociale, ma question est faut-il acheter un petit guide des restos dont on n'a nul besoin parce qu'on est sensible à la détresse d'un compagnon ? J'aimerais qu'il y ait d'autres solutions.
RépondreSupprimerBonjour Cergie. J’aime beaucoup les photos, je reviens du limousins ou j’ai fait quelques photos de Rochers, il va falloir que je les publies…
RépondreSupprimerJe visite régulièrement « cergipontin » même si je ne laisse pas de message, la prose n’est pas mon fort.
Je suis un peu d'accord avec tout le monde et personne. D'accord que c'est triste de voir des gens ne pas arriver à joindre les deux bouts tout en travaillant, triste de voir qu'on s'en fout, mais triste aussi qu'on veut toujours plus dans le style de lampes à 250 euros alors qu'on peut très bien s'en passer et qu'on n'a peut-être pas vraiment les moyens de se les offrir. En plus toutes ces conneries que l'on veut et qu'on jette ensuite aux orties ne font que nous polluer la vie. Certes, il faut du plaisir, mais il faut aussi du travail - et des gens qui veuillez bien travailler pour ensuite se payer leur plaisir. Il ne faut pas toujours vouloir être pris en charge par la société, alors qu'on ne fait rien pour se prendre en charge soi-même, chacun selon ses propres capacités, mais quand-même.
RépondreSupprimerDans mes bras margueriteLG !
RépondreSupprimerMarguerite est un de mes pseudos, Cergie est pour mon blog "Cergipontin", Marguerite pour mon blog "Jardin de Marguerite" !
Merci de nous raconter cette tranche de ta vie, cela montre que les sabots ne sont pas si désuets et que leur port ne remonte pas si loin dans le temps. De nos jours, on s'en sert toujours puisqu'on en trouve toujours en vente
Nazzareno, dans le métro, toutes sortes de gens se côtoient. Tout le monde est d'accord pour dire que les tarnsports en commun sont à prendre en priorité, mais certains trouvent que cela est pour les utres mais pas pour eux. Sans doute parce que trop communs ?
RépondreSupprimerDelphinium, et HPY, c'est ce qu'on appelle "décalage". Décalage des modes, des conditions de vie liés aux moyens dont on dispose. Certains essaient juste de tenir la tête hors de l'eau, d'autres dilapidenr ds notre société bien nommée de consommation. Peut-on rentrer ds ce débat et dire par exemple que créer des musées ne sert à rien ou les oeuvres d'art ne servent à rien ? Ou bien les bagnoles de luxe par exemple. Mais quelque part, tout cela crée des rêves et des emplois. Difficile de porter des jugements définitifs.
Nathalie, je ne savais pas que les bottes pouvaient être dangereuses car si on chavire parcequ'on est sur une embarcation frêle, elles se remplissent d'eau et on coule plus aisément. Et pour la pêche à pied, je pensais, pas de danger. Et un spécialiste m'a dit qu'aussi les bottes peuvent être dangereuses. En cas de montée subite de l'eau. On ne pense pas toujours à tout et si on y pense alors on ne vit plus. Mais les vieux briscards ont souvent raison / les marins d'eau douce...
Daniel, je me demandais quand tu devais y aller. Dommage que les moments tant attendus passent si vite... Je suis contente de tes visites et ne te fais donc pas de souci pour la prose...
si les bottes sont dangereuses en mer!!!!je vais vous raconter une histoire vraie: j'ai vécu très longtemps à Quimper, j'y avais une marchande de poissons attitrée(mère d'un de mes élèves). Son mari était pêcheur en mer de Concarneau il embarquait pour des longues saisons de pêche.
RépondreSupprimerIl avait subi un vrai naufrage et avait dérivé sur le canot de survie plusieurs jours dans une mer très froide , il a survécu au froid surtout des pieds en pissant dans ses bottes pour les réchauffaer. Finalement il s'en est sorti grâce à des marins russes qui l'ont trouvé en pleine mer.
Plusieurs années après il a réalisé ce qu'il appelait un voeu de devoir il est parti avec sa femme pour remercier ses sauveteurs.
Quelques mois après son voyage il était à nouveau embarqué sur un navire breton pratiquant la pêche hauturière, il est emporté par une lame en allant chercher sur le pont des choux fleurs(pas de réclame!) pour le diner....on ne l'a jamais retrouvé car m'a dit sa femme:" malheureusement il avait gardé ses bottes, c'est du plomb!!!"
Histoire d'un drame breton.
Kenavo
PS je vais très souvent sur "le jardin de marguerite" merveilleux!
moi je veux une bagnole de luxe pour aller faire une virée avec HPY, cergie et peter.
RépondreSupprimerMargueriteLG, merveilleuse Bretagne, merveilleux Bretons. Rude pays, rudes habitants. J'ai de la chance. Le compagnon de ma fille est un gars de Moëlan-sur-Mer.
RépondreSupprimerDelirium, on pourra toujours la louer... Et il faudra bien ça, car HPY ne se déplace jamais son son DD, Cergie sans son Pat, Peter sans Lyliane qui elle-même amène Michel. Avec qui viendra donc Delirium ?
Précarité...
RépondreSupprimerC'est pas mal trouvé ces énormes rochers en équilibre pour la suggérer....
Quand aux embarcations en "plastic"...sûr,ça va sauter !!! :))
Bises en courant
je viens avec delphinium bien sûr, les deux font la paire.
RépondreSupprimerJe pourrai venir avec une des voitures que m'amène Michel! Voulez vous un proto, une Mercédes, une bmw?
RépondreSupprimerMoi je me souviens de mes galoches après guerre, des sabots avec un bout de pneu en dessous, ça faisait moins de bruit en marchant, mais je n'en avait qu'une paire,même pas une pneu pluie ou pneu neige, pauvre de moi!!.
Je suis tout à fait d'accord avec HPY,il faut trouver des gens qui veulent travailler.
Mais revenons à tes photos qui sont magnifiques et me donnent envie de retourner en Bretagne.
Chamamy, viendras tu toi zaussi dans la voiture, avec ton Papicha et ta copine la cascadeuse ? Plus on est de fous plus on rit
RépondreSupprimerDelirium, et Delphinium qui ne vient jamais sans sa vache ! C'est bientôt une bétaillère plutôt qu'une voiture de luxe qu'il nous faudra
Lyliane, et les mini bus avec sièges en cuir, il peut en avoir aussi Michel ? Te plains pas, tu aurais pu avoir des semelles feutres non rechappées. Alors ça s'appelle des "pompes" parce que ça fait "slurp slurp" à chaque pas et tu baignes...
Ou est-ce qu'on va avec le bus de luxe? Peut-être Paris est un bon compromis? Ou le TGV pour la Suisse? Je suis prêt pour n'importe quelle destination, surtout pour faire la nouvelle connaissance avec delphinium et delirium... et de voir tout le monde bien sur! Sérieusement, on fixe qq chose? Le week-end du 24-25 novembre?
RépondreSupprimerOh merveille, je viens de lire sur le blog de Maxime ta sublime traduction des huit révélations sur sa personnalité. J'en ai hurlé de rire, quel talent ! Merci pour ce bon moment !
RépondreSupprimerEt puis oui, les rochers en équilibre précaire pour suggérer la précarité de la vie, c'est bien trouvé.
RépondreSupprimerEt puis oui aussi, les kenavo de Margerite LG m'ont beaucoup plu aussi.
Et puis oui encore, j'avais déja entendu parler des bottes qui vous font couler... mais les bottes de bateau tombent assez facilement du pied, elles sont larges, bien plus que les bottes de jardinage. Et puis ça protège bien,
qui dira le froid des pieds mouillés en mer ? Elles ont d'ailleurs bien protégé du froid les pieds de ce marin qui pissait dedans ! Je garde mes bottes...
Et pour la précarité, on fait quoi ? C'est une question qui me hante souvent, cette société qui est faite pour les actionnaires et pas pour les "vrais gens".
Et tu sais quoi, ton gros rocher en équilibre, j'ai photographié son frère presque jumeau au cap Leeuwin l'année dernière, le point le plus loin au sud-ouest de l'Australie, rencontre entre l'océan austral et l'océan indien... je te la montrerai un jour Cergie, tu verras.
RépondreSupprimerBrittany has always been a mysterious and enchanting place for me (and lots of others). Living with the sea, an outpost jutting into the atlantic. Strange tales and magical interior with primitive history and fairy stories. I like these photos for their simplicity and composition. I'd like to see some impressions of inland as well.
RépondreSupprimerCergie, sais tu que la cité de l'architecture http://www.citechaillot.fr/musee2/visite_virtuelle.php
RépondreSupprimerpropose une exposition sur Vauban, bâtisseur du roi soleil.Je suis allée lundi au salon du chocolat , porte de Versailles, je n'ai pas pris de photos, car Michel qui est en ce moment en Corée et au Japon a pris mon appareil.Mais j'ai bien dégusté et apprécié.
Bien je vais donc m'employer à suivre ton conseil et lire le journal local, cela dit à mon grand regret je ne bouge pas beaucoup de ma région. Mais avec le temps et les enfants grandissant je compte bien me balader aux quatres coins de France et d'ailleurs....
RépondreSupprimerBonne journée
Adré
On va être nombreux dans notre car de luxe, car Delirium et Delphinium sont toujours accompagnées de Délicium (qui va être présentée à Peter).
RépondreSupprimer...celui-ci n'est pas un commentaire, ce t'est seulement un salut à pour ce jour d'octobre...
RépondreSupprimerbonjour cergie
RépondreSupprimerle petit caillou la haut vers qui penche t'il
amities
patrick
Oh! Je ne voudrais pas être en dessous de cet énorme rocher qui semble être en équilibre instable! Comme d’hab ta photo et ton texte sont magnifiques.
RépondreSupprimerLors de notre dernier séjour sur la côte, mon petit-fils m'a rempli les poches de galets, comme autant de pierres précieuses. J'ai eu de la chance de n'avoir pas choisi ce coin du finistère, car j'y serais encore, vu le poids dans mes poches !
RépondreSupprimerJe ne lis jamais le journal local, même celui de ma région, mais sur le principe, je suis d'accord avec toi : il faudrait toujours lire le journal local... et il ne faut jamais s'avancer en eau profonde avec des cuissardes, même en rivière.
Ici, les journaux locaux, c'est "le populaire du centre", l'"écho du centre", "la montagne" et "l'union agricole". Il y aurait sans doute une thèse sociologique à faire à partir du nom des journaux locaux...
Les photos sont magnifiques; j’aime surtout la première! Mais le texte de Julien Lesage est vraiment superbe.
RépondreSupprimerC’est incroyable l’indifférence qu’on trouve presque partout. Bien sûr, il y aura toujours quelqu’un pour dire que c’est une certaine façon d’aider à survivre... Mais c’est bien bête!
J'oublie les sabots! ;)
Just stopped to say hi, and hope you are enjoying the season.
RépondreSupprimerLe commentaire de hpy: Maintenant je ne sais pas avec qui j'ai le plus envie de faire connaissance; delphinium, delirium, délicium... Tout ça finit par ...um. Il ne s'agit pas des hommes j'espère?
RépondreSupprimerLa grande pierre ... ca ressemble la tête d'un 'turtle' avec des yeux et la bouche. très jolie.
RépondreSupprimerPeter 2, à peine rentré, prêt à repartir. Bien sûr si le jeu en vaut la chandelle. (Je tiendrais pas le chandelier).
RépondreSupprimerNathalie, fais nous tous profiter du rocher jumeau en le publiant sur ton blog. Sans doute fait-il contre poids à celui-ci pour une terre en équilibre ? En fait c’est à cela qu’il faudrait arriver : l’équilibre en tout.
Richard, l’Ecosse et la Bretagne, toutes deux terres celtiques se ressemblent beaucoup. Surtout dans les terres en Bretagne il y a les Monts d’Arrée superbe région granitique couverte de lande et de bruyère (heather)
Lyliane, merci de l’info. En ce qui concerne ton appareil, demande à Michel d’être co-auteur de ton blog, et de te donner de belles photos (ceci dit tes fonds de tiroir comme le papillon de ce matin sont pas mal non plus.)
Adré, une chose que j’ai apprise en ayant des enfants est qu’on finit par ravoir du temps. J’ai raconté ici que lorsque les enfants étaient petits, je ne pensais plus jamais pouvoir marcher à mon pas. Et à présent ce sont eux qui me guident parfois en promenades, ou me montrent de nouvelles choses.
HPY, et Nazzareno ? On l’emmène aussi ?
Nazzareno, qu’en dis tu ?
Patrick, qu’en dis tu ? Je suis sûre que tu as ton idée.
Alex, merci des compliments. Je pense que ce rocher a subi déjà bien des tempêtes qui n’ont pas réussi à l’ébranler.
Maxime, ton petit fils est dans le vrai et les galets valent pièces d’or. Il sait aussi que pour que tu en ramènes dans tes poches il ne suffit pas de te le demander, il faut pouvoir les mettre soi-même (Y avait-il des galets sur l’île de Ré ?). Le nom de tes journaux apprend que tu habites au centre, qu’il y a des montagnes qui font de l’écho et c’est vrai au fond. Tout le monde sait que le Limousin est le nombril de la France.
GMG : ne serait-ce que regarder la personne qui passe. C’est bien que chacun retire ce qu’il veut des messages. Que nous n’ayons pas tous la même vision enrichit le débat.
Coucou, Princess, thank you for passing by. I hope we’ll have a beautiful autumn in France too.
Peter 3, en tout cas, tu veux faire la connaissance d’une personne qui rigole, qui pleure, qui délire et qui est délicieuse.
April, tu es passée pendant que je préparais mes réponses. Tu es la seule qui ait cherché une ressemblance. OPui, une tortue pourquoi pas. J’avais pensé un robot désarticulé.
Wow! What a rock! I love the photos as always. How have you been?
RépondreSupprimerc'est amusant, quand je pars dans ma dordogne natale, je lis le journal local "la depeche du midi". tu as bien raison, c'est en lisant la feuille locale que l'on decouvre ce qui la ville où la region
RépondreSupprimerThat was an impressive rock in the first photo! Great picture.
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