Les framboises et les myrtilles constituèrent la manne qui nous aida à faire 15 kilomètres à pied...
À vélo, les kilomètres sont plus faciles à avaler. Dans les montées trop pentues, sableuses ou caillouteuses, le grand-père portait le vélo de la petite-fille...
À son habitude, la grand-mère était à la traîne... Elle fut ravie de s'en tirer sans une courbature...
Coucou Lucie.
RépondreSupprimerQuel périple en une compagnie des plus agréable.
Ben oui les papy et mamie sont la pour ça.. Non !.
Bisous, belle journée.
A + :o)
Le ou la photographe sont toujours à la traîne avec le sentiment gênant de ralentir l'autre ou le groupe. Mais quel dommage si tu avais loupé tous ces beaux souvenirs en famille, alors tant pis pour "la traîne", tout le monde est reconnaissant après coup d'avoir ces belles images dans l'album. Superbe cadrage pour la première ! Le rideau d'épilobe en pente lui donne un mystère tendre. Et puis bel instantané du papillon et de la fleur pour clore la promenade !
RépondreSupprimerA la traîne pour faire de jolies photos, comme celle qui conclut ce CR (et non ce GR)
RépondreSupprimerNous traversons souvent les monts du Forez...via l'autoroute.
RépondreSupprimerA chaque fois, je pense à Honoré d'Urfé (et à l'Astrée) A présent, je penserai à toi , sur les chemins herbus et pentus, à bicylette.
http://www.leprogres.fr/sortir/2014/08/12/promenades-en-forez-en-lisant-l-astree-d-honore-d-urfe
RépondreSupprimerJe n'ai pas vu le film d'Eric Rohmer (2007) resté très, trop confidentiel mais j'ai vu le récent et charmant "Maestro"
Un écho ici:
RépondreSupprimerhttp://elf2mani.blogspot.fr/2015/08/vert-tendre.html
Belle promenade ! Comme à Paris, moi, je reviens avec les mollets douloureux et les cuisses avec.
RépondreSupprimerQuinze kilomètres à pieds, ça use, ça use ;-))
RépondreSupprimerHeureusement qu'il y avait les porteurs et les vélos !
Découvertes et douceurs en tous genres, on prend son temps, le rêve personnifié!
RépondreSupprimerJ'admire l'unité de couleurs dans le choix de tes images.
Tu as vraiment un regard de peintre quand tu photographies...
RépondreSupprimerEncore une fois émue et enchantée par ces moments partagés qui deviendront de merveilleux souvenirs pour les blondes demoiselles.
Et c'est là que je je me dis que mes fils ne savent pas ce qu'ils ratent à ne pas m'offrir de petits enfants !
(je suis certaine que s'ils n'attendent pas encore 10 ans, je pourrai faire une excellente grand-mère)
Magnifique.
RépondreSupprimerLa garrigue n'offre pas de si belles cachettes
bises
Il a bon dos le grand-père et la grand-mère à bien de la chance de pouvoir batifoler à sa guise dans ce bel environnement.
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