Étang-sur-Arroux (Saône-et-Loire, région Bourgogne-Franche-Comté), le 08.08.2016 à 16H41
Il ne faisait pas si chaud mais il y avait beaucoup de soleil... La première journée de vacances au gîte avait été bien remplie. Elle avait commencé ICI au bord de l'Arroux, elle s'est terminée LÀ au bord de l'Arroux où la rivière est large... Nous craignions moins pour les vêtements des petites-filles que pour leur sécurité...
mardi 27 septembre 2016
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Coucou Lucie.
RépondreSupprimerTu as donc visité une rizière !!! (Taquinerie)
Ce fut donc de merveilleuses vacances ...
Avec toute cette eau limpide à discrétion, j'espere que ton tendre époux avais une bonne bouteille d'Anisette !!
Bises, belle semaine, A + ♪ ☼
Cela me rappelle la petit rivière dans le Berry. C'était facile, nous étions en espadrilles.
RépondreSupprimeron les remettait les pieds mouillés.
Elles ont de bien belles robes tes petites filles.
Bises
Un vrai tableau!
RépondreSupprimerTilia trouverait certainement le lien vers la peinture idoine .
Mission accomplie, Miss Yves ;-)
SupprimerVois cette belle peinture signée de la main d'un peintre contemporain plein de talent : Ralf Heynen.
Bravissimo!
SupprimerEtonnante parenté, similitude, que dire?
Il n'y a pas de traduction anglaise plus imagée pour "les pieds dans l'eau"? quel dommage!
RépondreSupprimerC'est tellement une belle photo, le bonheur tout simplement ♡
RépondreSupprimerBisous
Manon
Depuis les blés murs, elles ont bien grandi les petites merveilles.
RépondreSupprimerC'est toujours très émouvant de voir le changement des enfants d'une année sur l'autre. Il nous semble que nous-mêmes ne changeons pas tant que ça mais
forcément il nous tombe quelques griffures sur le visage en plus, une tache ou l'autre sur la main. Le temps qui passe n'épargne qu'à cet âge où tout
est encore possible, bien plus tard c'est une autre histoire...
Coup de cœur pour la divine lumière baignant la petite ondine aux cheveux de lin.
RépondreSupprimerLa remarque de Miss Yves à propos de la traduction en anglais de ce billet me fait (une fois de plus) regretter que l'anglais ne possède pas de mot faisant la distinction entre rivière (qui se jette dans un autre cours d'eau) et le fleuve qui rejoint directement la mer ou l'océan.
Pour ce qui est de la traduction du titre de ce billet, tu aurais aussi bien pu écrire "The feet in the river". Mais ton choix est bien plus subtil puisque, ainsi placée bout-à-bout, les deux versions se complètent : Les Pieds dans l'Eau, Debout dans la Rivière.
(Dans ma réponse à Miss Yves un peu plus haut, j'ai oublié de changer de profil. Suis pas encore bien rodée ! Autre chose, Yahou est actuellement dans les choux, impossible d'ouvrir ma boîte)
Autre chose, en recherchant l'expression "the feet in the water" je suis tombée sur cet article qui explique pourquoi le bout de nos doigts se couvre de rides quand on laisse nos mains tremper dans l'eau.
RépondreSupprimerComme dans l'èmission"les petits bateaux",une explication rationnelle à une question que l'on se pose communément.
RépondreSupprimerUn bain de fraîcheur que ton image, pour les pieds trempés doucement dans l'eau, pour les robes aux jolies couleurs fleuries, pour l'herbe verte et son cadrage tout en rondeur qui sied à merveille à l'enfance...
RépondreSupprimerBisous Lucie ♥
Coup de coeur aussi pour la trouvaille de Tilia !!
RépondreSupprimerBonjour
RépondreSupprimerUne bien belle photo souvenir !
Bises
joliiiiiiiiiiii souvenir
RépondreSupprimerAh. Tremper les pieds dans la rivière. Lorsqu'on grandit, on a moins l'occasion de faire cela. Cela me rappelle quelques repas en forêt avec les parents et les frères quand on était petits. La rivière coulait un peu plus loin que le lieu du pic nic, et après le repas, on allait y tremper les pieds sous l'oeil attentif de maman.
RépondreSupprimerBeaucoup de fraîcheur et d'amour dans ce cliché!
RépondreSupprimerCoucou Cergie !
RépondreSupprimerLe problème avec Yahou était temporaire, le soir même ma boîte était de nouveau accessible.
Au sujet de la grande vague de Kanagawa (dans mon avant dernier billet) j'ai ajouté quelques précisions et j'ai répondu à ta question.
Je ne me lasse pas de ta photo des deux petites filles pieds nus dans l'eau. Elle est tellement rafraîchissante ! je veux dire, tellement loin des vilains remous du monde actuel.
Communier avec la nature est, je pense, un grand remède à la disposition de l'âme malade de voir, ou d'entendre (je préfère la radio) trop de choses horribles contre lesquelles nous sommes impuissants.
Bises et bon dimanche, Cergie, encore merci pour ta fidélité au grenier