Jeudi après-midi n'était pas le meilleur moment pour nous rendre à la pointe où se dresse la basilique Santa Maria della Salute. La météo avait annoncé une tempête. Le lendemain, il ferait très beau, mais nous voulions nous rendre sur l'île de Burano. Le surlendemain nous devions déjà reprendre le train... En guise de tempête, il y avait surtout de grosses bourrasques de vent à nous courber et retourner nos parapluies (surtout celui de la Petite P). Heureusement que ce n'était pas ce jour là mais le dimanche suivant que devait avoir lieu la 39ème édition du marathon de Venise pour laquelle avait été construite la passerelle que l'on aperçoit sur cette photo (ICI pour vous inscrire à celui du 25.10.2026 > "... une passerelle métallique de 170 mètres est installée quelques jours avant le départ, juste en travers du Grand Canal et démantelée la nuit après les épreuves. Elle permet de relier le quartier de Dorsoduro aux Jardins royaux. Eh oui, les organisateurs trouvaient qu'il n'y avait pas assez de ponts sur le parcours").
J'avais photographié cet embouteillage en 2022. Bien sûr, nos petites-filles auraient bien aimé faire un petit tour romantique sur le grand Canal mais le temps nous a manqué surtout celui de la météo. Alors nous avons tout de même pris une "gondola di traghetto" dont nous avions remarqué le lieu d'embarquement en arrivant à la Salute. Pour un touriste il en coûte 2€, pour un vénitien 0.80 ou 0.90€ (je ne me souviens plus ce que nous en a dit Roberto qui, quoique français réside à Venise).
Tout savoir ICI sur ces traghetti.
Les vénitiens voyagent debout, les touristes sont priés de s'assoir.
(LÀ les différents transports à Venise)
Ces photos prises en débarquant en face, l'ont été surtout pour la Ca’ Dario que Claude Monet a peinte en 1908. L'écrivain Gabriele D'Annunzio la décrivait "inclinée comme une courtisane décrépite sous la pompe de ses bijoux" (voir ICI).
Changement de moyen de transport... Nous avons trotté pour prendre le vaporetto (photo à gauche) qui nous a mené à l'arrêt Rialto...
Par la très étroite calle Pestrin (photo à droite) nous avons débouché sur le campiello Widmann Già Biri...
... qui touche le campiello Stella. Il nous fallait marcher encore avant d'atteindre la fondamenta Nove d'où nous allions embarquer pour nous rendre, après une traversée paisible et sans escale, sur l'île de Burano...
Coucou Lucie.
RépondreSupprimerBelle balade...
Bises bonne semaine.
Oui bon c'est de moi....
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