Coté impair et Paris 19ème vus depuis le coté pair et Paris 20ème, le 26.05.10 à 11H30
je bouge de là !
[A plusse...]
I must go now !
[But I will return...]
Coté impair et Paris 19ème vus depuis le coté pair et Paris 20ème, le 26.05.10 à 11H30
Publié par Cergie 26 commentaires
Libellés : Belleville, camion, Paris 19ème, scène de rue
Le 24.04.10 à 11H35
Le Clos normand de Claude Monet n’est pas tant fouillis qu'il y parait de prime abord. Tout y a son lieu et son temps. Les roses pointent hors des boutons lors que narcisses et tulipes se replient dans les bulbes. Les pommiers du japon (Malus x floribunda, Japanese flowering crabapple) couvent les parterres de nuées de pétales tandis que dans les allées vaquent les visiteurs-photographes...
Le 23.05.10 à 22H55
Nature Capitale, les 23 et 24 mai 2010...
Publié par Cergie 13 commentaires
Libellés : Champs Elysées, Nature Capitale, Paris 8ème
Le 31.05.09 à 22H35
C’est une photo oubliée qui sort des cartons aujourd’hui. Il n’y a pas de bobo. Même si je l’ai prise il y a presque un an, elle pourrait avoir été prise un de ces soirs proches (passés, futurs ?) car la température, à présent que nous quittons les Saints de Glace, est redevenue clémente et permet de dîner en terrasse. Ce que nous avons fait dans notre jardin hier soir vers 21H.
Titi habite avec Johjoh dans une petite rue calme qui donne sur le haut de la très animée rue Oberkampf où se trouvent de nombreux bistrots et restos branchés fréquentés par des étudiants. Nous n’avions pas dîné au "Sans Gêne" ce soir là, mais au coin un peu plus bas, à "L’Estaminet".
Ce brass band me rappelle l’époque où je respirais avec Etienne lorsqu’il faisait ses exercices de clairon puis de tuba. Avant qu’Etienne n’ait sa caisse claire, j'ai tenu devant lui des couvercles ronds et transparents (qui ont gardé la trace des impacts) de récipients vendus en réunions à domicile qui encombrent les placards, du moins au dire de Patrick lassé de les recevoir systématiquement sur le crâne.
Que de bons souvenirs remontant à beaucoup plus d’un peu moins d’un an !
Alors lorsqu'il m'a demandé hier de mettre un lien vers le blog qu’il a commencé, je dis : "yes ! Of course ! Indeed ! Why not?"
Publié par Cergie 14 commentaires
Libellés : brass band, Care, Etienne, Ménilmontant, Paris 11ème, restaurant, scène de rue
-Bifane-
Publié par Cergie 19 commentaires
Libellés : architecture, Bifane, Boissy-l'Aillerie, maison, nostalgie
Le 18.03.09 à 16H30
Bien entendu, les choses ne peuvent rester telles quelles sont. Le temps avance, celui des saisons qui font les années. Celui qui fait puis défait les feuilles, le colza, les coquelicots, les églantines, les noisettes...
J’ai pris cette photo (inédite) il y a un peu plus d’un an. La toute petite maison à deux niveaux, façade sur rue aveugle, ouvre sur ce triangle et par les portes d’entrée et de garage, les deux fenêtres à l'étage sur la ruelle.
Depuis hier dimanche, une clôture mi-grillage, mi-bois, d’un vert plus soutenu que celui de la remorque, ceint le terrain en pointe privatif...
Le temps et les hommes font et défont les choses...
Publié par Cergie 19 commentaires
Libellés : Boissy-l'Aillerie, maison, paysage urbain
Le 18.11.09 à 16H00
Au loin : la rivière Oyak qui prolonge la rivière Comté et la région de Cacao.
Ici j’ai parlé de la forêt ripicole, là de la forêt de terre ferme.
J’ai eu la chance d'arriver à un point de vue à l'instant même où, bien à propos, cessait la pluie drue qui martelait et brouillait notre pare-brise depuis un petit moment... J’avais lu que la canopée couronnant la forêt tropicale ressemble, vue du dessus, à un champ de brocolis. Et c’est vrai. J’avais lu aussi quelque part : "timidité des cimes", et que les lianes relient les arbres entre eux et consolide la nappe des houppiers. La timidité des cimes a été mise en évidence par Francis Hallé.
Du coup, hier dans le jardin, lorsque j’ai noté que le beau buis de Patrick ayant bien poussé (grâce à la pluie et au compost de ce printemps) gênait les lavandes (que j’aime en boule et non déséquilibrées) et qu'ensuite j’ai entrepris de lui faire une petite taille, j’ai repensé à la timidité des cimes.
J’ai réalisé que la lavande est timide et que le buis ne l’est pas (c’est pourquoi il fait de belles bordures). Le rosier est timide, le choysia (oranger du Mexique) ne l’est pas. Ce matin, je me suis dit qu'en ce qui concerne les arbres de métropole, les chênes verts sont timides, ceux qui se taillent facilement, comme les charmes qui font de si jolies charmilles, ne le sont pas...
[Ces découvertes faites au jardin et au lit n'engagent que moi...]
Publié par Cergie 20 commentaires
Libellés : arbre, forêt, Francis Hallé, Guyane
Le 09.05.10 à 16H35
Un clocher qui montre l'heure et le vent,
un terrain de boule,
une école avec deux classes uniques,
des collines boisées et deux arbres,
de l'herbe à vaches, à moutons et chevaux...
Une prairie pentue qui sera un jardin,
des escargots de Bourgogne dodus,
un cerisier et un saule,
une cabane......
Il faudrait une chèvre !
Publié par Cergie 17 commentaires
Libellés : 69, le village, paysage, village
Le 30.04.10 à 17H10
Il y a toujours, sur la place de l'Eglise, un véhicule stationné devant cette maison de village...
Publié par Cergie 21 commentaires
Libellés : 95, Bifane, cergy, Cergy Village, maison, voiture
Publié par Cergie 29 commentaires
Libellés : Belleville, Ben, fresque, Jean Le Gac, paris, Paris 19ème, Paris 20ème, paysage urbain, place Fréhel
Le 27.04.10 à 11H00
Lorsqu’il revient le temps du muguet, je chausse mes souliers de marche et vais inspecter les couleurs du bois de Vauréal (dont je sais le nom mais je le tais). Je n’ai pas très loin à marcher. Je pars à droite, tournant le dos à la gare terminus du RER. Je descends la coulée verte qui mène au village. Je monte la grande tranchée herbue qui sépare le bois des pavillons de la ville nouvelle implantés sur les anciennes terres agricoles des hauts. Un sentier souple du pas des promeneurs s’y est tracé. De nombreuses sentes récentes en partent se perdre dans les taillis, menant sans doute à des camps retranchés de petits loups à deux pattes comme ces trois là que j’avais autrefois dans ma meute. Enfin, je m’enfonce dans le bois par le chemin bien aménagé qui le traverse. Ouf ! Une grande nappe bleue est là où je la trouve chaque année. Dans une clairière éloignée des orées et encerclée de ronces, des troncs moussus sont couchés. Pas de cabane de charbonnier, juste les fleurs de jacinthe, les feuilles des sceaux de Salomon et des fûts.
Le temps du muguet ramènera le bleu des jacinthes tant que les arbres les cerneront à distance et tamiseront la lumière. Mais combien de temps encore ? Cette espèce est protégée. D’ailleurs, lorsqu’on la cueille et l’emmène loin des bois, dans la main ou même dans un vase, très vite elle se fane...
Publié par Cergie 25 commentaires
Libellés : Bifane, bois, jacinthe des bois, jacinthe sauvage, paysage, Val d'Oise, Vauréal